HistoriqueOn appelle "acomoclitisme" le goût pour les pubis épilés. C’est un goût courant en terre d’Islam où les femmes doivent s’épiler le corps avec des pâtes parfumées au miel qui laissent la peau sucrée. En Chine ancienne et dans la Grèce antique, les femmes aussi s’échangeaient leurs recettes : pommades, onguents, lames effilées… Pour s’entraîner à la lutte, les jeunes hommes se rasaient le corps et le frottait d’huile.
L’empereur Héliogabale, sacré à l’âge de 14 ans, aimait se faire passer pour une femme et se déguisait en prostituée, après de longues séances d’épilation intégrale… Religieux ou érotique, le rasage du pubis a toujours eu le même sens : pour être humain, il faut enlever sa fourrure. Le poil renvoie à l’animalité. L’homme - singe glabre - se coupe de ses origines simiesques en… arrachant le mal à la racine !
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