Valérie : "L'enfer de l’épilation !"

"Comme beaucoup de filles, j’ai commencé par l’épilation maillot pour pouvoir aller à la plage. Mais pendant des années, j’ai eu honte de me mettre en maillot parce que l’épilation laissait toujours des traces affreuses : les poils repoussaient sous la peau, dégénéraient en boutons et laissaient des cicatrices ! J’ai tout essayé, en vain… Que je la fasse au rasoir, à la crème, à la cire ou à la pince, l’épilation tournait toujours au carnage…

Un jour, j’ai décidé d’en finir avec ces poils insupportables. Je suis allée chez un dermatologue pour une épilation électrique. L’horreur ! Pendant un an, une fois ou deux fois par mois, j’ai subi des séances de torture. Le dermato mettait des lunettes de soudeur pour faire loupe et se penchait sur mon sexe en gros plan comme un voyeur sadique. Il m’enfonçait une longue aiguille dans la peau - c’est très sensible au niveau du pubis - et envoyait une décharge électrique pour dissoudre le bulbe. Il fallait "électrocuter" chaque poil l’un après l’autre ! Puis, pendant trois semaines, j’avais un pubis couvert de traces de brûlures et après, rebelote pour une nouvelle séance de gégène. Sans compter que les poils "brûlés" n’arrêtaient pas de repousser…

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