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Une zone érogène polémique Il n’empêche que certaines l’ont trouvé. Car le point G semble être reconnu depuis des siècles comme une réalité. Platon connaissait, ou du moins prétendait connaître cette source de jouissance dont les femmes sont bénies. Il affirmait dans ses écrits que le vagin des femmes recèle des mystères que même les femmes ignorent. Les écrits provenant de l'île de Lesbos en attestaient aussi. Et quand on interroge les femmes qui ont identifié leur point G, elles le situent sur la paroi ventrale "à environ deux pouces de l'entrée du vagin, en haut, bien au centre". Cette zone est entourée de tissus érectiles, comparables au corps caverneux du pénis. On la reconnaît parfois à sa texture “en peau d’orange”. En fin d’orgasme, cette zone est fortement gonflée. Pour Grafenberg, il s'agirait d’une membrane, appelée “éponge”, située entre la paroi vaginale et l'urètre… Mais quelle est sa nature ? En 1982, les chercheurs Ladas, Whipple & Perry - qui reprennent avec enthousiasme l’observation du point G - admettent leur ignorance quant à la structure cellulaire de cette zone érogène. Certains cherchent à comparer le point G de la femme à la prostate de l’homme. Pour Whipple & Perry, il n’y a aucun doute que ce point est un vestige millénaire équivalent à la prostate masculine…
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