Prendre la décision

Pour la plupart des couples, la stérilité détermine la démarche d’adoption, souvent après un marathon médical décourageant. Dans ce cas, il est capital de faire le deuil de l’enfant biologique : l’enfant adopté ne remplacera jamais l’enfant non conçu.

Autre motivation : la volonté d’aider les enfants en détresse, qui conduit parfois à adopter plutôt qu’à concevoir. Là encore, attention : on adopte un enfant pour se faire plaisir et pas seulement par esprit de sacrifice.

Quelles que soient leurs motivations, on conseille aux futurs adoptants de rencontrer des familles adoptives, qui leur parleront de leur expérience, et de se faire aider par les intermédiaires de l’Aide sociale à l’enfance (A.S.E.) chargés de délivrer l’agrément.

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